Tabloïde mode

BLOOM par Angélina Alvarez Soto

Il y a encore deux ans, Angélina courait les friperies et les vêtements de seconde main. Plus elle en apprenait sur l’envers du décor de la mode, plus elle découvrait ses méfaits sur l’environnement et les mauvaises conditions de travail imposées dans certains pays.

C’est à ce moment qu’elle a pris la décision de s’engager à son tour et de faire sa part pour changer le monde ; c’est ce qui l’a poussé à lancer sa ligne de vêtements recyclés sous la marque BLOOM.

« Je le fais parce que c’est dans mes valeurs. C’est un combat, une mission. »

Angélina Alvarez Soto

Angelina se définit comme une féministe et elle encourage l’achat local. Pour sa campagne prélancement officiel, elle s’est associée avec des artistes sensibles aux mêmes causes qu’elle. Antoine Desrochers, Maxime Gibier et Murphy Cooper ont répondu à son appel. Ils sont ses plus grands
supporteurs.

« J’ai choisi de collaborer avec Bloom pour mettre de l’avant leur éthique de travail; la construction de vêtements basée sur le recyclage. Nos océans, nos rivières et nos lacs débordent littéralement de déchets. Je ne peux me permettre en tant qu’être humain de participer à un cycle de production de déchets. Le chemin peut sembler long, mais c’est en m’habillant chez des entreprises comme Bloom que j’y fais un pas à la fois. »

Antoine Desrochers

Autodidacte dans l’âme, elle a suivi quelques cours en Commercialisation de la mode au Cégep Marie-Victorin et à l’UQAM et maintenant, elle fonce dans l’école de la vie. Écoresponsable, féministe et fervente de l’achat local, elle expérimente, explore et fabrique une pièce à la fois selon l’éthique slow fashion. Chaque morceau de vêtement est unique et différent à la fois. Elle embrasse des causes qui lui tiennent à cœur et utilise les réseaux sociaux pour transmettre ses messages. 

 www.bloomvetementsrecylcles.com | #bloom_vetementsrecycles

Source et crédits

Felipe del Pozo | Photos: Jay Simon